LabCom et MBA ESG organisent la conférence « Brand content et Evénementiel : pari gagnant ? » le Jeudi 22 novembre 2012, de 18h45 à 22h00.
Les marques intègrent de plus en plus, dans leurs stratégies de communication, des formes de brand content, l’un des mots qui aura marqué l’année. Il s’agit de tous les types de contenus que peut produire une entreprise afin de communiquer d’une façon un peu alternative. Le but n’est pas simplement de faire de la publicité, mais de créer une expérience enrichissante, qu’il s’agisse d’ebooks, de jeux, d’événements… Les marques se donnent désormais pour mission d’informer ou de divertir, et pas seulement de communiquer sur leurs produits : le brand content s’inscrit davantage dans une stratégie plus large.
C’est donc sur ce thème que va porter la conférence organisée par LabCom.
Si le brand content vous intéresse, n’hésitez donc pas à réserver vos places !
Ce body de la collection Sexy Little Geisha n’est désormais plus disponible sur le site officiel Victoria’s Secret.
En effet, la célèbre marque de lingerie américaine a récemment supprimé tous les articles de sa collection Sexy Little Geisha après avoir été accusée de racisme envers les pays de l’Est…
Pourquoi ? Parce que plusieurs personnes ont dénoncé l’image dégradante et même « raciste » que donnaient ces articles de l’Asie. Ce ne sont pas tant les modèles mais les courts textes qui accompagnaient les produits qui ont choqué : « your ticket to an exotic adventure » (votre billet pour une aventure exotique) .Ce que le site Racialicious, qui dénonce la campagne, comprend comme: « Buying these clothes can help you experience the Exotic East and all the sexual fantasies that come along with it, without all the messy racial politics! » (Acheter ces vêtements vous permettront d’expérimenter l’exotisme de l’Est et toutes les fantaisies sexuelles qui vont avec, sans vous encombrer de tous les problèmes politiques et raciaux).
Les japonais, vexés par cette campagne de pub, ont répliqué sur le champ en disant que les geishas, trop souvent considérées comme des prostituées en Occident, ne font, en réalité, qu’ « accompagner » leurs clients, et elles ont une formation de plusieurs années pour ça. . .
La mise en ligne de la phase bêta de FBX est annoncée officiellement aujourd’hui, tout juste après 3 mois de test !
Facebook Exchange, une solution de publicité comportementale en temps réel grâce à laquelle Facebook va permettre aux annonceurs de faire du reciblage (retargeting) basé non seulement sur votre surf (informations stockées dans les cookies de votre navigateur) ou comportement de navigation sur le web,mais aussi sur toutes les données à la disposition de Facebook (vos centre d’intérêt, etc.). Pour cela le réseau social a commencé à placer des cookies dans les navigateurs de ses utilisateurs, pour que ses partenaires puissent tracker et reconnaître les membres du réseau social.
Il parait même, que le retour sur investissement serait jusqu’à quatre fois supérieur aux autres systèmes d’enchères publicitaires en temps réel !
Comment « Facebook Exchange » fonctionne-t-il ?
Par exemple, j’envoi un message à un ami Facebook > Lors de ma connexion Facebook place un cookie dans mon navigateur.
Je continue ma navigation et je vais sur un site pour regarder les camescopes HD, car j’aimerais en acheter un dans l’année, puis je quitte le site e-commerce sans avoir acheté. > Le site e-commerce que je viens de visité a contracté les services d’une des plateformes DSP qui travaillent avec « Facebook Exchange », et place donc un cookie dans mon navigateur.
Entre temps, une notification de Facebook m’informe que mon ami a répondu à mon message. Je consulte mon message > le résseau social reconnaît le cookie placé par la plateforme DSP et notifie cette dernière de ma présence sur Facebook.
La plateforme DSP peut alors placer une enchère en temps réel pour qu’une annonce publicitaire de camescope me soit présentée sur le réseau social.
Pour plus d’information regardez la page Facebook Exchange (en anglais) :
La photo a fait le « bad » buzz au mois de janvier. Un homme nu sur une photo des pages enfants du catalogue internet de La Redoute. Une “erreur” qui a surpris le petit monde du e-commerce et a fait de l’entreprise roubaisienne la cible de moqueries et de parodies, même le concurrent 3 Suisses en a profité pour glisser un petit tacle avec une campagne mettant en scène le désormais célèbre “homme nu” portant un maillot de bain à 9.99€ !
Mais La Redoute ne s’avoue pas vaincue et vient de retourner la situation en sa faveur en tentant de récupérer à son avantage ce “buzz” négatif pour en faire un bon coup de publicité rentable et efficace.
Le n°1 de la vente à distance a renouvelé ses excuses par l’intermédiaire de sa directrice e-commerce, qui, sur un ton très sérieux présente à nouveau ses excuses à propos de “l’homme nu” et affirme que d’autres erreurs ont été retrouvées sur le site internet. Un exemple d’erreur retrouvée sur le site : Un pull soldé à 25€ au lieu de … 25392€. Et elle lance un appel aux internautes : tous ceux qui découvrent une erreur sur le site gagneront des bons d’achat.
Un bouton “signalez une erreur” n’est présent que sur les “fiches produits piégées.” Le jeu est proposé du 1er au 12 février. Il s’agit d’un coup de marketing de crise bien ficelé, qui devrait être très rentable (car une opération de marketing de crise classique aurait pu coûter très cher : communiqué de presse, agence de com’, spots, SMO …etc.). Cela leur permet surtout d’installer en masse des cookies à tous les participants de ce jeu pour ensuite les “retargeter”.
Les équipes de La Redoute se sont offertes des heures de «brainstorming» et les services d’une agence de communication (CLM BBDO) pour transformer un dérapage désastreux en opération à succès.
Investissement : 14 prix de 200€, soit 2 800€.
Gains probables pour le site :
• Un pic d’audience : Ca tombe bien, ce sont les soldes en ce moment
• Enrichissement de la base clients
• Installation de cookies
• Un chiffre d’affaires « probablement » en hausse
• Amélioration de l’image et de la notoriété
• Engagement : les marketers savent que les jeux (ou gamification) créent de l’engagement de la part des joueurs.
On compte sur La Redoute pour communiquer les retombées de cette ingénieuse opération !
Diffusés sur nos petits écrans en synchronisation (bande-son) d’une pub (de manière intensive le temps d’une campagne spécifique ou depuis des années pour tous les spots d’un même annonceur), certaines musiques, certains airs, ne sont plus ce qu’ils étaient originellement… Par la force du matraquage ou par l’alliance artificielle créée entre une marque, un produit et un air, certaines compositions ne sont plus que « la musique de la pub de… ».
Drôle de sort pour quelques uns de ces titres méconnus du grand public ou oubliés, qui ont, grâce à la visibilité offerte par la diffusion télé, eu l’opportunité d’atteindre une nouvelle audience, mais qui ont par la suite également fait face au revers de la médaille.
Gâchées par le monde impitoyable de la réclame, quelles sont les musiques associées à une pub ? Celles qui, dès les premières notes, nous font voir des jambons et nous donne envie d’acquérir une assurance vie ! !
Try To Remember et Carte Noire
Dans les années 90, le café, produit de consommation courante, se transforme en produit de « luxe ». Afin de réhausser l’image d’un bien pourtant on ne peut plus banal, Carte Noire apporte une touche de sensualité (toujours présente dans ses campagnes de pub les plus récentes) en mettant en scène la figure du couple, la séduction homme-femme, le plaisir, le désir et l’éveil des sens. En plus des volutes de fumée émanant du café chaud, de la lumière tamisée, c’est un titre interpreté par Harry Belafonte qui ambiance la scène. En fonction des années et des campagnes de pub, la marque a opté pour différentes versions de « Try To Remember » (à l’origine composé pour la comédie musicale The Fantasticks, mais popularisé entre autre par Belafonte) et a, depuis quelques années, enfin changé de bande-son sans pour autant rendre sa liberté à ce titre à jamais imprégné de caféine.
La Sarabande de Haendel
Un artiste du 18ème siècle retrouve l’une de ses oeuvres dans la publicité de Levi’s (2000). Voici bien un exemple de l’évolution de la musique à travers les âges qui est utilisée pour différentes raisons et différentes cibles.
La Sarabande de Haendel est également utilisée par :
Stanley Kubrick, qui l’utilise pour la bande-son du film Barry lyndon. (1975)
Albert Barillé, qui l’utilise lors du récit de la Seconde Guerre mondiale dans Il était une fois… l’Homme (1978)
Brian De Palma, qui la reprend dans le film Redacted (2007) lors du passage « Barrage »,
Hayao Miyazaki et Joe Hisaishi, qui l’utilisent lors d’un moment crucial de Nausicaä de la vallée du vent (1984), lorsque l’héroïne atteint un statut quasi-messianique,
Fatal Bazooka, où elle sert d’instrumentation à la musique Chienne de vie,
Le groupe Teräsbetoni reprend le thème, sur la piste Gloria de l’album Maailma Tarvitsee Sankareita (2010),
On la retrouve donc en 2000 dans une publicité pour les jeans Levi’s.
Elle apparaît dans le film « 99 francs » de Jan Kounen tiré du livre éponyme de Frédéric Beigbeder.
Elle apparaît dans la bande annonce du film « Presumé Coupable ».
Rimsky Korsakov
Le vol du bourdon utilisé dans la publicité du sucre de 1993
Valse n°2 de la Suite Jazz de Dimitri Chostakovitch
Un très beau spot, qui commençait en noir et blanc avec l’enfance d’un garçon, pour changer de plan et d’âge quand il disparaît derrière le décor. La publicité pour les assurances CNP (2009), vous en souvenez-vous ? Non ? Alors, je vous propose un retour en arrière de quelques années, avec la vidéo ci-dessous :
George Bizet
Peugeot : Les jours trop courts (2004 – mars)
Carmen – Acte II n°14 couplets (chanson du toréro)
Ajax :
1997-2002 : Carmen – ouverture
2003 – avril : Carmen – acte 1 « l’amour est un oiseau rebelle » (habanera)
Une maison, des fenêtres à volets, desquelles apparaîssent des femmes, qui crient en choeur « égoïste ! » sur le rythme de la musique de Prokofiev. Telle est la publicité du parfum Egoïste de la marque Chanel.
NESTLE – P’tit pot : Pierre et le loup / thème de Pierre
Coca-Cola en 2009 : Pierre et le loup
Mozart :
Voici quelques exemples de pubs qui ont utilisées la musique de Mozart :
Norma de Bellini chanté par Maria Callas : Parfum Jean Paul Gautier
L’Homme et la Femme sont à nouveau réunis. L’occasion de deux nouveaux courts-métrages, masculin / féminin en résonance et portraits croisés. Jeux de miroirs, renvois d’images : les films jouent en double, plan à plan, en écho l’un de l’autre. Qui séduit ? Qui sen va ? Qui revient ?
Pour ce nouvel épisode de la saga, Jean Paul Gaultier et Jean-Baptiste Mondino ont imaginé un même scénario donnant lieu à deux interprétations. Dans une parfaite équité homme-femme, « le Mâle » et « Classique » renversent les rôles, jouant, chacun à leur tour, celui qui reste ou qui s’en va.
C’est loccasion d’une nouvelle rencontre pour le premier couple de la parfumerie française.
Françoise Hardy et la musique de Contrex…
Magnifique chanson que celle de Françoise Hardy, Comment te dire adieu. Dans les années 80, le morceau devient le « jingle » privilégié de la marque d’eau minérale minceur Contrex. Ou comment dire adieu aux kilos superflus.
Marilyn Monroe et la musique de la Renault Clio III
Le film publicitaire pour la Renault Clio III met en scène les âmes des voitures d’une casse automobile qui s’élèvent dans les airs et se lancent dans une course effrénée pour se réincarner en Clio, modèle III bien sûr ! On reconnaît alors la chanson My heart belongs to Daddy, qu’interprétait la somptueuse Marilyn Monroe en 1960 dans le film « Le milliardaire ».
La musique de la marque William Saurin…
Lorsque le tube Y.M.C.A. des Village People s’invite à la télé via une publicité, c’est pour la marque de produits culinaires William Saurin. « Et la vie prend toute sa saveur« …
La musique des assurances MAAF…
« Efficace et pas cher, c’est la MAAF que j’préfère, c’est la MAAF !« … Le tube de 1986 C’est la ouatepar Caroline Loeb est, depuis 2004, la musique de la pub TV des assurances MAAF. A noter que chaque campagne prend place au sein du célèbre « Palace » de Jean-Michel Ribes. « Je l’aurai un jour ! »
La musique de l’iPod Nano d’Apple…
« 1234569 & 10« … En septembre 2007, la chanson 1234 de Feist a été choisie pour être la nouvelle musique (et la nouvelle image !) de la campagne de publicité TV mondiale du nouvel iPod Nano d’Apple. Le titre est alors le deuxième single du nouvel album de la chanteuse canadienne, The Reminder.
Dario Moreno et la musique des huiles d’olive Puget…
Tout le monde (ou presque) se souvient de cette pub pour l’huile d’olive Puget où l’on voit une jeune fille, de dos, faisant du vélo, lorsque tout à coup, le vent vient lui soulever sa jupe. Et la musique qui accompagne la scène, l’illustre Tout l’amour. Première diffusion en mai 1997.
The Beach Boys et la musique de Babybel…
« Ba ba ba ba babybel« … C’est au groupe The Beach Boys, et à leur titre Barbara Ann que l’on doit le fameux slogan de la publicité pour le fromage Babybel. Et là, tout le monde connaît.
KT Tunstall
La chanson Black Horses and the Cherry Tree, titre qui a révélé la chanteuse KT Tunstall est aujourd’hui plus connue sous le terme de « musique de la pub Alice« . Et lorsque l’on dit Alice, tout le monde fait « Ouh ouuuhhh, ouh ouh« !
Véronique et Davina et la musique du 118 218…
Dans les années 80, il y a avait Véronique et Davina, deux coach sportives qui réveillaient chaque matin les téléspectateurs d’Antenne 2 dans leur émission Gym Tonic. Dans les années 2000, on retrouve 118 (et) 218, renseignements par téléphone. Point commun ? La musique de Tou tou you tou, revisitée pour la pub TV.
Yael Naïm pour la pub Mac Book Air…
Pour illustrer le spot TV de son nouveau Mac Book Air, mac ultra fin et terriblement léger, la marque Apple a choisi la chanson New Soul, de Yael Naïm. Depuis, le duo surfe sur la vague du succès et l’album Yael Naïm disque de platine.
Pour la première fois Oasis célèbre Noël avec une publicité spécifique en TV et au cinéma. On connaît la passion des fruits Oasis pour la chanson, ils se sont donc bougé le noyau pour créer une chorale : Les Petits Pépins Noël !
Apparus en janvier 1984, les « Crok’images » remportent immédiatement un vif succès !! Ces biscuits sont vraiment délicieux et envahissent très rapidement les cartables, les placards, et donc les bidons de milliers d’enfants affamés ou tout simplement gourmands !
Les « Crok’images » sont des biscuits sablés joliment décorés par un beau dessin au caramel ! Il existait 2 collections différentes : Le sport et la ferme. L’ingéniosité de la marque résidait dans le fait qu’au dos de chaque boite, il y avait de petits personnages à découper, et à collectionner !
Malheureusement pour « L’Alsacienne » (et pour nous aussi du coup !), tous ces jolis biscuits commencent à sentir le roussi au début des années 90… La dernière gourmandise créée par la fameuse biscuiterie sera les « Kaila » en 91, biscuits assez élégants, plutôt destinés aux adultes (et assez chers pour l’époque…). La marque disparaitra totalement en 1994, rachetée coup sur coup par différentes firmes, et les « Crok’images » seront retirés des rayons………… pour toujours !!!
Les « Kango » subsisteront quant à eux, sous la marque « Belin » dans un premier temps, puis aujourd’hui encore sous la marque « LU » …